mercredi 13 avril 2011

De la diffamation considérée comme un des beaux-arts


Encore un rat de blog qui s'estime diffamé par mes vacheries sur Onfray et sa secte d'ahuris !
Décidément c'est trop d'honneur. (Je ne passe pas en ligne son commentaire anonyme, ni ceux de blasés qui eux, sous des pseudos aussi cons qu'opaques (sacré Thierry Roland par exemple !), ont tenu à me dire que j'étais aussi taré que le camp d'en face, tandis qu'ils comptent les points avec lassitude et mépris et le prennent de haut, s'estimant au-dessus de ce genre de match.)

J'espère qu'après un long procès retransmis en direct, où je serai défendu, comme G'bagbo, par Verges et Roland Dumas, je serai décapité Place de l'Hotel de Ville par Delanoë en personne aux manettes, tandis que cent mille citoyens vengeurs feront dreliner la sonnette de leur Vélib.
Mes roustons et mes oreilles de macaque seront offerts saignants et encore pilpatants à Onfray.
Je ferai don de ma bite de King Kong à Christine Angot comme parure de stylo, de mon scalp au bouddhiste Matthieu Riccard comme moumoute.
J'exige que mes poumons noirs de carbone soient cloués comme une chauve-souris au-dessus du bureau de la Bachelot, que mes yeux servent de boules de Geisha à Ségolène Royal, et que le reste de mon anatomie soit débité en abattis nourrissants aux Restos du Cœur.
Je lègue toute ma paperasse à Fourniret.
Je souhaite que ma bibliothèque soit installée dans le loft du prochain Secret Story, et que ma cervelle serve de prototype pour mouler le ballon de la prochain Coupe du Monde de football.
Quant à ma tête vide j'exige qu'elle soit recyclée en urne funéraire pour recueillir les cendres de Cioran et soit plantée au top du Panthéon.
L. W.-O.

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